Archives agenda

22
Déc

Grève féministe du 8 mars 2020

Réunion

mercredi 18 décembre

18h00 - 21h00

Coco Velten
16, rue Bernard du Bois
13001 Marseille

À l’initiative du collectif Marseille féministe

AG POUR ORGANISER UNE GRÈVE FÉMINISTE LE 8 MARS 2020

  • Contre le sexisme.
  • Contre les inégalités salariales, sociales et économiques.
  • Contre les violences sexistes et sexuelles, et les féminicides.
  • Contre les conditions de travail et d’emploi indignes.
  • Contre les oppressions racistes, islamophobes, LGBTQIphobes.

En 2017, les féministes argentines lancent un appel pour organiser une grève féministe internationale chaque 8 mars.

Cette année, dans plusieurs ville de France, des collectifs de femmes et féministes s’organisent pour préparer la grève et construire un mouvement d’ampleur contre le sexisme et pour toutes les femmes.

Nous appelons donc à une grève le 8 mars 2020, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, à Marseille, autour de quatre axes :

  • Grève de la consommation.
  • Grève du travail domestique.
  • Grève du travail étudiant.
  • Grève du travail salarié.

Pour nous organiser collectivement, nous proposons une réunion inter-collectifs et ouverte à toutes les personnes luttant contre le sexisme.

Venez nombreuses et nombreux !

18
Déc

Le social brûle

AG

mercredi 11 décembre

19h00 - 21h00

El Mamba
8 rue Barbaroux
13001 Marseille

Le Social brûle est un collectif de salarié·e·s du social et du médico-social au niveau des Bouches-du-Rhône

Suite à la mobilisation réussie de mardi et de samedi, deuxième AG du travail social et du médico-social pour nous informer, nous organiser, nous mettre en réseau, élaborer des revendications et des actions.

11
Déc

Rencontres Films Femmes Méditerranée

Festival de cinéma

Du vendredi 29 novembre au samedi 07 décembre

19h00 - 21h00

Plusieurs lieuxMarseille

Présentation de la 14e édition des Rencontres Films Femmes Méditerranée

Pour la cette édition des Rencontres Films Femmes Méditerranée, nous vous offrons une pluie d’étoiles.

Elles éclairent avec émotion, humour, gravité et générosité cet espace tourmenté que dessinent les rives de la Méditerranée: les réalisatrices dont nous avons choisi de montrer les films, courts ou longs métrages, tracent un sillon lumineux entre ces peuples que les guerres, la pauvreté et l’obscurantisme veulent enfermer dans la nuit.

Des archives du temps présent faites aussi de va-et-vient vers le passé, proche ou lointain, chroniques d’Abyssinie et du colonialisme italien de Pagine Nascoste ou fragments de vies de Paris Stalingrad et de Chaos.

​Des histoires personnelles, familiales ou politiques contant les combats de tant de femmes pour la dignité et la liberté, de Freedom Fields à Papicha, Pearl ou Viaje, de Cendres et de Braises, FilmmakErs à Merveilles à Montfermeil, le premier long métrage de Jeanne Balibar projeté pour la soirée d’ouverture au Mucem.

Quelques titres, parmi d’autres, témoins que la relève est bien assurée: les étoiles montantes du cinéma méditerranéen au féminin sont les héritières d’une poignée de défricheuses qui leur ont ouvert la voie. À elles aussi nous rendrons hommage.

Ainsi, nous suivrons Claire Denis dans les lieux de son parcours cinématographique, nous nous laisserons emporter par la délicatesse malicieuse d’Agnès Varda et par la force de vie de la Dunia de Jocelyne Saab.

Cette année encore, laissons nous éclairer par nos belles étoiles du cinéma méditerranéen au féminin !

 

Télécharger le programme en cliquant sur l’affiche ci-dessous

 

29
Nov

Liquide - Cie Plante Un Regard

Spectacle

mardi 03 décembre

20h00 - 21h00

Manifesten
59 rue Thiers
13001 Marseille

Liquide est un hommage au sensible et à la liberté, un coup de gueule contre la confIscation du corps de la femme et la société patriarcale, un voyage poétique d’une jeune femme avec et vers elle-même.

Écriture, mise en scène et jeu : Eva Guland
Création sonore : Estelle Lembert
Costume : Tatiana Bertaud
Regards complices : Noémie Herubel, Estelle Lembert et Melissa Streicher
A partir de 12 ans

Prix libre – plus d’infos sur l’événement facebook

03
Déc

Journée mondiale de lutte contre le Sida

Stand-Prévention-Depistage-Ecoute

samedi 30 novembre

11h00 - 17h00

Cours Julien
13006 Marseille

Le Collectif d’actions du 1er décembre, associatifs, institutionnels, professionnel·le·s de santé, bénévoles et les étudiant·e·s de l’Institut de formation en soins infirmiers des Hôpitaux sud, avec le soutien du Corevih Paca Ouest Corse (Comité de coordination régionale de lutte contre les IST et le VIH), vous donnent rendez-vous sur le cours Julien, à côté de la sortie du métro :

  • Stand d’information et de prévention / Espace d’écoute / Offre gratuite, confidentielle et anonyme de dépistage rapide TROD VIH et VHC par le collectif ;
  • Animation musicale, flashmob et sensibilisation du public par les étudiant·e·s infirmiers.
30
Nov

Louise Michel et les libertés

Ballade urbaine

samedi 30 novembre

10h00 - 13h00


13001 Marseille

À l’initative de Nexpériences et du Théâtre de l’Œuvre

Un parcours dans Belsunce sur les traces de Louise Michel qui y a laissé son empreinte et sa place. Ses écrits et sa vie résonnent encore comme celles des luttes vécues ici. Ces récits proposés par Nathalie Cazals, anthropologue, seront accompagnés de textes d’écrivains sur la liberté sous l’occupation, la colonisation ou bien encore l’esclavage réunis par le « collectif Belsunce ».

Faire entendre les appels à la liberté pour combattre les frontières en venant rencontrer des commerçants, des habitants, des militants et des artistes.

Rendez-vous en haut des escaliers de la gare Saint-Charles 9h45

Participation : 12 € / personne, gratuit pour les moins de 15 ans
Inscription par mail ou 06 07 37 16 67

Information reprise du site Approches cultures & territoires

30
Nov

Création féminine afroqueer

Projections & performances slam

dimanche 24 novembre

20h00 - 23h00

Videodrome2
49, cours Julien
13006 Marseille

Dans le cadre des soirées Transversales proposées par le collectif Idem

Comment se construisent les identités, les communautés et les représentations lorsqu’on est afrodescendant·e·s queer ?

En première partie : diffusion et présentation de la série afroqueer Extranostro
Episode 1 par Kis Keya, créatrice de la série.
Extranostro est la première série afroqueer francophone de Kis Keya. Si les deux personnages au centre de l’intrigue sont africains et homosexuels, la série joue sur la diversité. Les personnages centraux et secondaires, représentent ensemble une diversité d’origines, de genres et d’orientations sexuelles.
Elle questionne la visibilité des jeunes noir.e.s queer sur les écrans.

En deuxième partie : P!nkshasa Diaspora (Work in progress) de Joëlle Sambi : un documentaire LGBT congolais dont on verra 2 portraits. Chacun des portraits sera suivi d’une performance slamée par Joëlle Sambi.
P!nkshasa Diaspora est un regard personnel, un premier documentaire sur les vécus des minorités sexuelles et de genre quasi invisibles qui font communauté entre la Belgique, la France et le Congo-Kinshasa.

Une programmation proposée en partenariat avec le Festival des films et des arts LGBTQ Afro de Montréal

Une rencontre avec les deux artistes clôturera la soirée.

24
Nov

Contre les violences faites aux femmes

Rassemblements

Du vendredi 22 au samedi 23 novembre

10h00 - 11h00

Aix-en-Provence

À l’initiative du collectif aixois (dont fait partie le Planning 13) pour l’égalité femmes-hommes.

Cercles de silence autour des violences faites aux femmes suivi suivi d’échanges avec les passant·e·s et distribution de tracts.

  • vendredi 22 novembre 2019 de 10h a 11h au marche d’Encagnagne (rendez-vous a 10h devant le superU)
  • samedi 23 novembre de 2019 10h a 11h au marche du jas de bouffan (rendez-vous a 10h à l’entrée du marché)
22
Nov

Contre les violences faites aux femmes

Manif

samedi 23 novembre

14h30 - 17h30


Cours d'Estienne d'Orves
13001 Marseille

Deux appels à manifester ont émergés ces dernière semaines dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes

Appel à l’initiative d’Osez le féminisme

Année 2019, en France

  • une femme est tuée tous les 2,5 jours par son compagnon ou ex-compagnon.
  • 1 femme sur 10 est victime de viol ou tentative au cours de sa vie.
  • 1viol ou tentative de viol a lieu toutes les 8 minutes.

Ces crimes ne sont pas des faits divers, encore moins des “crimes passionnels”. C’est bien le machisme qui tue.
Les violences ne sont pas le propre d’une culture, d’une religion, d’un milieu social, d’une famille ou d’une histoire personnelle. Elles traversent toutes les sociétés et découlent des discriminations dont sont victimes les filles et les femmes.

A des degrés divers, la violence sexiste et sexuelle est partout :

  • dans l’espace public : insultes, menaces physiques, violences sexuelles : 1 femme ou fille sur 4 a subi ce type de violence au cours de l’année
  • sur les réseaux sociaux : 92% des contenus sexistes signalés ne sont pas supprimés par les réseaux sociaux
  • dans l’espace privé : 1 femme sur 10 est victime de violence conjugale,
  • au collège et au lycée : 22% des jeunes filles sont traitées de « putes » ou de ‘salopes’ durant l’année. 1 jeune fille sur 3 déclare avoir été victime de violences à caractère sexuel dans le cadre scolaire
  • au travail : 1 femme sur 5 est confrontée à une situation de harcèlement sexuel au cours de sa vie professionnelle ; seulement 5% des cas sont portés devant la justice.
  • Les lesbiennes vivent des violences multiples en tant que femmes et en tant que homosexuelles. 14 % des agressions physiques rapportées à l’association SOS homophobie les concernent.
  • La prostitution est un système de violence sexiste et raciste : elle touche surtout des femmes (85%), qui sont à 93% des étrangères. La loi d’abolition de la prostitution d’avril 2016 est insuffisamment appliquée alors qu’elle prévoit un parcours de sortie du système pour les personnes qui le souhaitent. Acheter un acte sexuel est un délit, passible d’une amende et/ou d’un stage, il faut le faire savoir.
  • 70.000 jeunes filles menacées de mariages forcés ; 125.000 femmes ayant subi des mutilations génitales

Le plan quinquennal en 2017, Le « Grenelle » cet été ? En réalité, des mesures fragmentées et peu efficaces. Pour en finir avec les violences sexistes et sexuelles, nous exigeons du Gouvernement, en urgence, de :

  • Développer un plan de formation obligatoire pour tou.te.s les professionnel.le.s au contact de femmes victimes de violences : policier.e.s, gendarmes, magistrat.e.s., médecins, sans oublier les élu.e.s…
  • Intégrer dans les cursus scolaires et universitaires et dans le milieu professionnel, l’éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes, dès le plus jeune âge, tout au long de la scolarité et de la vie
  • Généraliser, sur tout le territoire, des dispositifs de protection et d’éloignement qui ont fait leurs preuves : ordonnances de protection, mesure d’éviction du conjoint violent du domicile, téléphone grave danger et bracelet anti rapprochement, facilitation de la mobilité professionnelle si nécessaire,
  • Créer des places d’hébergement conformément à la Convention d’Istanbul
  • Renforcer les moyens des associations pour permettre l’accompagnement des femmes et des enfants victimes de violences conjugales.
  • Donner le statut de réfugiées pour les femmes migrantes ayant subi de graves violences au sein du couple dans leur pays d’origine
  • Appliquer strictement dans le milieu du travail de la loi sur les violences sexistes et sexuelles

Pour financer un tel programme, il faut 1 milliard, comme le fait l’Espagne ; et il ne s’agit pas d’y inclure des fonds déjà alloués et utilisés par ailleurs, comme cela semble être le cas pour les dernières annonces de la Secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes.

Manifestons partout le 23 novembre contre les féminicides et les violences contre les femmes ! Interpelons les pouvoirs publics sur leur responsabilité !

Premières signatures:
L’Assemblée Des Femmes, L’Amicale du Nid, Collectif13Droits DesFemmes13, Centre Evolutif Lilith, Femmes solidaires Mrs , Forum Femmes Méditerranée, Le Mouvement du Nid, Marche Mondiale des Femmes Paca, Mouvement Jeunes Femmes, Osez le féminisme!13, SOS Femmes13, Aix-en-partage, Attac Mrs, La Cimade , Calme11/12eme, FSU 13, Génération-s Mrs, GRS, LDH,LFI, MDP, MRAP13, UD-CGT13,, PCF, PS-13, Résister Aujourd’hui, Sud Education13, Solidaires 13, UNEF Aix-M

 

Appel à l’initiative du collectif Rainbow Cité

Pour un Féminisme Inclusif & Intersectionnel. Appel à mobilisation contre le patriarcapitalisme et ses normes

[ Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes, aux personnes trans, aux personnes intersexes, aux gouines, aux travailleurses du sexe, à celleux qui ne correspondent pas aux normes imposées.]

Féministes, nous avons à cœur de lutter contre toutes les violences de genre, et encourageons donc pour le 23 novembre à participer à toutes les actions et rassemblement soutenant les luttes contre la #putophobie, la #transphobie, l’#intersexophobie, le #racisme et l’#islamophobie. Et de montrer qu’un féminisme intersectionnel et inclusif est majoritaire à Marseille.

Peut-on parler de féminisme si on écarte volontairement une partie de la population car elle ne correspond pas à la femme bourgeoise cisgenre blanche?

Invisilisé.e.s et méprisé.e.s dans la sphère publique et politique, nous, les TransPédéBiGouine et TravailleurSEs du sexe ne voulons plus d’un Féminisme basé sur la norme Cisgenre, Hétéro, Blanche et Bourgeoise.
Nous ne souhaitons pas être la catégorie diversité++ de vos mobilisations, le « ETC » de vos manifestes, ou pire, que, par tradition patriarcale, vous parliez à notre place.

Le 1er novembre, un appel à un rassemblement pour le 23 novembre, dans la cadre de journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, à été publié par Osez le féminisme, Femmes Solidaire et Assemblée des femmes. Ce texte porte en encore fois une fois une vision étriquée des violences patriarcales et plus largement du féminisme. Bien sur, nous condamnons les violences sexistes et sexuelles, il doit y avoir une politique menée contre les féminicides y compris lorsqu’il s’agit de femmes Trans ou de Travailleuses du sexe.

La journée du 23 novembre devrait être l’occasion de visibiliser l’ensemble des violences sexistes, pas d’en produire d’avantage.

En effet, ce texte ne fait que renforcer les stigmates contre les travailleur.euse.s du sexe, en les présentant comme des victimes à sauver, sans leur donner la parole. Le travail du sexe n’est pas un “système de violence”. Ce sont les lois sur le proxénétisme (empêchant tout aide et auto-organisation des TDS), la pénalisation des clients et les politiques migratoires qui sont un système de violences. Le rapport de médecin du monde montre que les lois votées sur la pénalisation des clients n’ont eu aucun effets positifs pour les travailleur.euse.s du sexe. Pire, elles ont augmenté les demandes de rapports non protégé et donc entrainé des transmissions d’IST/MST, et défavorisées les travailleur.euse.s dans les rapports de négociations, baissant ainsi leurs revenues. Il est donc impensable de revendiquer un renforcement de ces dispositifs et c’est à se demander si les féministes abolitionnistes ne trouveraient pas un intérêt cruel et pécuniaire à maintenir une fiction sur le travail du sexe en France.

Dans le contexte politique actuel, nous dénonçons aussi le mésusage et l’instrumentalisation du féminisme pour alimenter le sous-entendu selon lequel les violences seraient surtout le fait d’étrangers. Le féminisme blanc s’est engagé à transformer l’Islam en une religion et une culture misogyne par nature, convergeant avec le phénomène du fémonationalisme et de l’assimilationnisme qui en découle.

Le point de convergence entre ces idéologies est l’approche de l’Islam comme une menace aux droits des femmes, droits perçus désormais comme une des valeurs de la nation, comme une des « valeurs de la République », notion laissée délibérément vague car l’histoire a montré que ces valeurs et le contenu qui leur sont donnés varie à travers le temps et en relation avec des contextes sociaux et culturels changeants.
Nous réitérons notre positionnement à nous décentrer du féminisme blanc cishétéro bourgeois, ainsi qu’à combattre le capitalisme et ses politiques racistes.

Les personnes trans et intersexes sont encore une fois invisibles. Pourtant, les débats et réponses du gouvernement sur la loi bioéthique ont rappelé à la fois l’urgence d’agir et l’incapacité des mouvements féministes et LGB à soutenir la lutte contre les violences transphobes et intersexophobes. Ainsi, l’Etat continue à légitimer les mutilations des enfants intersexes et à restreindre l’accès aux transitions des personnes trans, niant ainsi le principe d’auto-détermination et renforçant les risques de violences.

Nous continuerons de nous battre pour :

  • De véritables politiques publiques de lutte contre les LGBTQI-phobies et le sexisme. Se positionner avec une posture de féminisme intersectionnel inclusif, reconnaissant les aspects identitaires multiples qui enrichissent nos vies, nos expériences, tout en dénonçant les oppressions et la marginalisation.
  • L’arrêt des mutilations et des traitements sans nécessité vitale sur les personnes intersexes, et l’accès remboursé aux opérations et aux traitements pour les personnes trans qui les souhaitent. Nous souhaitons que toustes les personnes puissent s’autodéterminer sans passer par une grille normative.
  • Une politique de santé publique respectueuse de critères humains et sanitaires et non économiques,
  • Des moyens concrets et d’ampleur contre l’épidémie de sida,
  • Pour la dissolution de la SoFECT/FPATH : depuis sa création, la SoFECT/FPATH trie les personnes trans en désir de transition médicale, sur des critères normatifs, transphobes, sexistes, agistes, putophobes, validistes, toxophobes, sérophobes, psychophobes, classistes. Nous soutenons un accès libre à des transitions dépsychiatrisées et non-pathologisantes et, plus largement, un accès non-discriminé aux soins et autres services publics pour les personnes trans. Les parcours publics/privés continuent de creuser les écarts, nous ne voulons plus reproduire les systèmes de privilèges et d’oppressions systémiques.
  • L’ouverture du droit à la PMA à toutes et tous, sans report dans le calendrier parlementaire à des fins hypocrites de stratégies politiques. Nos droits ne sont pas négociables, notre temps n’est pas récupérable.
  • La réforme de l’établissement de la filiation et son inscription sur la base de l’engagement,
  • L’arrêt des politiques discriminatoires, stigmatisantes et répressives contre les personnes racisées, les migrant·e·s, les travailleu·rs·ses du sexe et les classes populaires,
  • Pour la décriminilisation totale du travail sexuel et l’application du droit commun aux TravailleurSEs du sexe
  • La fin des politiques de précarisation,
  • Une vraie politique d’accueil et d’accompagnement des migrant·e·s, des mesures d’urgence contre les persécutions y compris celles concernant les LGBTQI+ et la régularisation de tout·e·s les sans-papiers ; l’Etat est complice de massacre en renvoyant les migrant·e·s dans leurs pays d’origine qu’iels fuient.
  • Le développement des alternatives à l’emprisonnement et le respect de la dignité des personnes incarcérées et de leurs droits et accès aux traitements, y compris hormonaux.
  • Contre le patriarcapitalisme et le cis-tème hétéronormatif !
23
Nov

Projection débat : Sibel de Zencirci et Giovanetti (Aubagne)

Projection débat

vendredi 22 novembre

19h00 - 22h00

Le cercle de l'harmonie
12 cours Beaumond
13400 Aubagne

Le Cycle des projections-débat reprend son cours au Cercle.

Le film choisi ce mois ci est donc Sibel de Zencirci, et Giovanetti (2019).

Ce film évoque de nombreux sujets comme la langue des oiseaux, une exception culturelle localisée en Turquie.
L’œuvre aborde en même temps la condition des femmes dans ce pays, et plus généralement mais en généralement le système patriarcal encore bien présent en occident. (en même temps que le handicap ou la question Kurde).

Dans le cadre du 25 Novembre (journée mondiale contre les violence faites aux femmes) la diffusion du film sera précédé de la diffusions d’extraits du documentaire « violences et résistances » et d’un débat sur les moyens de lutter contre les violences faites aux femmes.

ENTREE 5€
19H00
12 Cours Beaumond 13400 Aubagne
04 42 70 12 91
dharmonieaubagne@gmail.com